Édito

Je vous gifle, messieurs

Je pense qu’il est temps.

Réouvrons l’arène de 1687, dépoussiérons les hallebardes des anciens contre les modernes!

En réponse à Jean Larose, Éric Samson, partisan des modernes, poste cet article .

J’ajouterais, en réponse à l’article de Jean Larose, qu’il est bien juvénille d’utiliser comme argument central d’une critique une rhétorique  basée sur la présomption d’une carence affective de la part des auteurs de blogues. Prendre la décision d’écrire et de publier, c’est de facto s’adresser au public, peu importe le support que l’on utilise. Si Monsieur Larose considère l’écriture comme un acte solitaire, qu’il cesse de publier. L’intervention du public a toujours fait partie de la littérature.

La docte Antiquité dans toute sa durée
À l’égal de nos jours ne fut point éclairée

(Charles Perrault, Le siècle de Louis le Grand.)

Je préfère le sang frais de la grille au sperme tiède des corridors d’«Universités».

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Une réflexion sur “Je vous gifle, messieurs

  1. Pingback: Intervention au CIEL « Sublime machination

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