Arrivé dans une mer de monde. Du beige, du brun, du rouge. Des voiles, des chales, des crânes. Partout.
Apprivoisé laborieusement la chair humaine depuis mon premier voyage ici. Malgré les allées défrichées du monde corporatif, le contact permanent des corps m’a sauté au visage comme une bête féroce inconnue.
Les rues sont vides, à la maison. Il n’y a plus de problème de stationnement, à la maison.