Cette entrée a été publiée le 4 janvier 2010, 11:10 et est classée dans ?, Écrire. Souscrivez par RSS 2.0 aux commentaires attenants.
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Bon point, je suppose que par définition, oui. Puisque l’écriture est la technologie qui fut dévellopée pour résoudre le problème de perte du savoir au fil du temps. Cela dit, doit-on forcément inclure la raison primaire de création de l’écriture à chacque utilisation?
Lorsque je conduit mon Jeep, que j’en parle ou que j’écris a propos de celui-ci, rarement je mentionne le besoin pour lequel il a été concu initialement. Tout comme un Jeep, l’écriture est un véhicule, une technologie certe. À l’époque de leur création, ils ont été créé pour le transport. L’un de troupe au delà de terrains peu praticable par les autres moyens de transport, et l’autre de savoir au delà du temps, ou les autres moyens de transport ne pouvait se rendre avec autant de certitude et d’intégrité.
Et du même coup, aujourd’hui les deux servent encore leur but premier, mais ils se sont aussi adapté pour satisfaire d’autres désirs. Le Jeep, vehicule de promenade, et l’écriture, pour l’évasion de l’esprit, l’imaginaire et les jeunes ados en manque d’amour propre.
Aborder ne veut pas nécessairement « en parler » au sens stricte du terme. On peut écrire en en ayant conscience, toutefois. Comme on peut (et devrait, selon moi) construire une jeep en ayant conscience qu’elle devrait toujours être chargée de sa fonction première, justement. Accepter l’innovation sans faire table rase de la tradition. Bref, jeep, écriture; même combat moderne. 😉
Le problème est que présentement, les véhicules perdent de leurs sens premiers. On oublie que le jeep sert aussi à transporter des gens sur des terrains peu praticables, alors on les construit sur des bases de berlines (jeep BMW), et on construit leurs systèmes électriques trop rapidement (Une quantité phénoménale de Land Rover sont victimes de feux électriques depuis quelques années). En littérature, on oublie trop souvent que l’écriture elle-même est technologie à la source d’un désir troublant. On blâme trop souvent la technologie sans creuser la charge humaine, le portrait fidèle qu’elle représente d’une humanité tragiquement prise avec une essence dont elle est insatisfaite…
»On blâme trop souvent la technologie sans creuser la charge humaine, le portrait fidèle qu’elle représente d’une humanité tragiquement prise avec une essence dont elle est insatisfaite… »
Et des films comme Avatar parraissent au cinema. Hehe.
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#1 par vincent le 5 janvier 2010 - 12:29
Faire pipi dans la neige?
#2 par Gautier le 5 janvier 2010 - 2:15
Ça prend full de technique faire pipi dans la neige.
#3 par Med le 6 janvier 2010 - 8:18
J’dirais que oui.
#4 par Gautier le 6 janvier 2010 - 8:20
Mais l’écriture n’est-elle pas elle-même une technologie?
#5 par Med le 7 janvier 2010 - 4:34
Bon point, je suppose que par définition, oui. Puisque l’écriture est la technologie qui fut dévellopée pour résoudre le problème de perte du savoir au fil du temps. Cela dit, doit-on forcément inclure la raison primaire de création de l’écriture à chacque utilisation?
Lorsque je conduit mon Jeep, que j’en parle ou que j’écris a propos de celui-ci, rarement je mentionne le besoin pour lequel il a été concu initialement. Tout comme un Jeep, l’écriture est un véhicule, une technologie certe. À l’époque de leur création, ils ont été créé pour le transport. L’un de troupe au delà de terrains peu praticable par les autres moyens de transport, et l’autre de savoir au delà du temps, ou les autres moyens de transport ne pouvait se rendre avec autant de certitude et d’intégrité.
Et du même coup, aujourd’hui les deux servent encore leur but premier, mais ils se sont aussi adapté pour satisfaire d’autres désirs. Le Jeep, vehicule de promenade, et l’écriture, pour l’évasion de l’esprit, l’imaginaire et les jeunes ados en manque d’amour propre.
#6 par Gautier le 7 janvier 2010 - 4:45
Aborder ne veut pas nécessairement « en parler » au sens stricte du terme. On peut écrire en en ayant conscience, toutefois. Comme on peut (et devrait, selon moi) construire une jeep en ayant conscience qu’elle devrait toujours être chargée de sa fonction première, justement. Accepter l’innovation sans faire table rase de la tradition. Bref, jeep, écriture; même combat moderne. 😉
Le problème est que présentement, les véhicules perdent de leurs sens premiers. On oublie que le jeep sert aussi à transporter des gens sur des terrains peu praticables, alors on les construit sur des bases de berlines (jeep BMW), et on construit leurs systèmes électriques trop rapidement (Une quantité phénoménale de Land Rover sont victimes de feux électriques depuis quelques années). En littérature, on oublie trop souvent que l’écriture elle-même est technologie à la source d’un désir troublant. On blâme trop souvent la technologie sans creuser la charge humaine, le portrait fidèle qu’elle représente d’une humanité tragiquement prise avec une essence dont elle est insatisfaite…
#7 par Med le 7 janvier 2010 - 6:26
»On blâme trop souvent la technologie sans creuser la charge humaine, le portrait fidèle qu’elle représente d’une humanité tragiquement prise avec une essence dont elle est insatisfaite… »
Et des films comme Avatar parraissent au cinema. Hehe.
#8 par Gautier le 7 janvier 2010 - 6:30
Haha!